overdose, gentillesse et openspace...
Je pense qu'être en open space à la disposition du public pendant près de 5 ans m'a usée : bruit, être à la disposition des gens de toutes humeurs. sous le flot des postillons et des éternuements (virus et microbes en mode youpie!), les coins de ma bouche ont du mal à se relever...c'est...laborieux!
Le constant "bonjour/au revoir (jusqu'à 1000 fois par jour environ) m'a dégouté de ce job, sans compter le harcèlement moral...
Et pourtant, il y a pire, en passant ce midi à mon "Marché Plus", petit magasin de proximité, j'ai été choquée par l'air misérable, et je pèse mes mots d'une caissière très gentille présente depuis plusieurs mois. D'un âge indéfinissable entre la trentaine et surtout l'âge de la désespérance si je dois m'en tenir à la manière dont elle m'est apparue toute à l'heure, elle tient plus de la petite Vendeuse d'allumettes que de la jeune fille en fleur ce jour.
Et ça m'a attristée pour elle : elle avait un gros rhume, des petits cheveux tout électriques, les yeux fatigués (jusque là, j'ai pareil à la maison : c'est tout moi) mais surtout, un air triste à pleurer, le tout frigorifié et en perpétuelle exposition aux courants d'air.
Merci mademoiselle pour votre sourire et votre amabilité malgré votre fatigue et sans doute les petits et gros soucis qui vous affligent...
Le constant "bonjour/au revoir (jusqu'à 1000 fois par jour environ) m'a dégouté de ce job, sans compter le harcèlement moral...
Et pourtant, il y a pire, en passant ce midi à mon "Marché Plus", petit magasin de proximité, j'ai été choquée par l'air misérable, et je pèse mes mots d'une caissière très gentille présente depuis plusieurs mois. D'un âge indéfinissable entre la trentaine et surtout l'âge de la désespérance si je dois m'en tenir à la manière dont elle m'est apparue toute à l'heure, elle tient plus de la petite Vendeuse d'allumettes que de la jeune fille en fleur ce jour.
Et ça m'a attristée pour elle : elle avait un gros rhume, des petits cheveux tout électriques, les yeux fatigués (jusque là, j'ai pareil à la maison : c'est tout moi) mais surtout, un air triste à pleurer, le tout frigorifié et en perpétuelle exposition aux courants d'air.
Merci mademoiselle pour votre sourire et votre amabilité malgré votre fatigue et sans doute les petits et gros soucis qui vous affligent...